Nous avons trop souffert des crimes et terreurs perpétrés par nos militaires et policiers
5. mars, 2017
Dans un document rendu public ce 1er mars, le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l'homme revient sur les deux semaines qui ont marqué la fin constitutionnelle du mandat du président Joseph Kabila autour du 19 décembre, et accuse l'armée d'avoir délibérément tué des civils.
De son côté, la ministre des Droits humains, Marie-Ange Mushobekwa, qui a reçu le document avant sa publication, dénonce un « rapport partisan » et accuse une « partie de l'opposition » d'être les commanditaires des violations des droits de l'homme décriées, sachant que des violences ont été perpétrées par des manifestants pendant la même période, notamment le meurtre d'un policier à Kinshasa, le 20 décembre.
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